L’Afrique est riche en traditions et en culture. Quand il s’agit de mariages, les Africains de partout sur le continent ont tendance à sortir le grand jeu afin de s’assurer que ce jour soit mémorable. Des chameaux dansants au Niger aux concours de danse en Afrique du Sud, il existe une multitude de traditions de mariage à travers l’Afrique. Les exemples que nous présenterons ci-dessous reflètent juste une fraction de la riche diversité du continent. Que vous connaissiez déjà bien votre héritage ou soyez juste curieux, nous avons rassemblé quelques pratiques et cérémonies de traditions Africaines de mariage qui pourraient vous intéresser.
Traditions de mariage africaines: "Frapper à la porte"
Il s’agit d’une pratique commune dans le monde de demander la main de la fille. Une cérémonie de mariage africain ne peut aller de l’avant sans cette étape essentielle. Pour certains groupes ethniques du Ghana, le nom de ce rituel est « frapper à la porte » ou « kokoo ko ». Le marié, accompagné de sa famille lors d’une soirée pré-arrangée, « frappe » à la porte de la maison de la future mariée. Une fois à l’intérieur, ils présentent des cadeaux tels que des bouteilles de vin pour la libation, de l’argent et des noix de cola à la famille de la mariée. Ils annoncent leurs intentions et discutent des perspectives des deux familles s’unissant par le mariage. Si tout se passe bien, la mariée est appelée pour donner son consentement final et savoir si elle décide d’épouser cet homme. Les préparatifs du mariage commencent dès qu’elle donne son approbation.
Différentes communautés africaines disposent de méthodes variées concernant cette cérémonie. Au Nigeria, les Yorubas l’appellent « Mo mi i mo e » (connais-moi et laisse-moi te connaître). Les Agikuyu au Kenya l’appellent « Kumenya Mucii » (apprendre à connaître la maison).
La cérémonie de fiançailles
Dans les traditions Africaines de mariage, le mariage est une union entre deux familles, et pas seulement de deux individus. C’est donc pour cela qu’il y a une cérémonie de fiançailles. Cette dernière est aussi parfois la cérémonie où la dot est réglée. Ellle a une donc grande importance. Ces cérémonies rassemblent toute la famille et permettent à chaque côté d’apprendre à se connaître.
D’ailleurs, beaucoup de cérémonies de fiançailles africaines ne sont pas complètes sans la dot. Bien qu’elle puisse être mal vue dans le monde occidental, elle est encore toutefois bien présente en Afrique. La dot demeure une tradition cruciale dans plusieurs communautés. Dans le passé, elle était perçue comme une garantie de fidélité sexuelle et de virginité de la femme avant le mariage. C’était aussi une façon pour le futur marié de prouver qu’il pouvait correctement subvenir aux besoins de sa femme et prendre soin d’elle.
La cérémonie diffère légèrement d’un pays à l’autre. Au Burkina Faso, l’ethnie Mossi ou Moagha l’appelle
«Poug PousSôm » ou PPS (pour faire court). Ce jour-là, la famille du marié se rend chez la famille de la mariée pour proposer la dot « négociée ». Elle peut être sous forme d’argent ou d’animaux, de céréales, d’ustensiles de cuisine, ou de vêtements. Des biens de consommation tels que les noix de cola et le dolo (bière de mil) sont offerts. Des services (travail sur le terrain, réparation des huttes, etc.) sont aussi monnaie courante.
Pendant la cérémonie, les sœurs et les amies de la future mariée prennent des affaires provenant de la famille du marié et les cachent. Ces affaires peuvent être des chaussures, par exemple, et doivent faire l’objet d’une rançon pour les récupérer. Cette coutume veut montrer au futur marié ainsi qu’à sa famille qu’ils ne peuvent pas aussi facilement « enlever » leur amie ou leur sœur de la famille. Après le PPS, le couple peut vivre ensemble. Cependant, dans la plupart des cas, une cérémonie religieuse ou un mariage civil doit tout de même avoir lieu.
Chaque communauté en Afrique a sa propre façon de célébrer la cérémonie de fiançailles. Au Kenya, la communauté Agikuyu appellent cette étape « Ruracio », tandis qu’en Afrique du Sud, on parle de « Lobola »
La dot pour la mariée reste un aspect crucial de nombreuses traditions de mariage africaines.
Offrandes de Noix de Cola
Les noix de cola jouent un grand rôle dans beaucoup de traditions de mariage africain, surtout en Afrique de l’Ouest. Ces noix pleines de caféine poussent dans de grands arbres des forêts tropicales en Afrique de l’Ouest. Elles sont souvent utilisées à des fins médicales. La cola symbolise aussi la guérison, le respect, l’hospitalité et l’unité.
En Gambie, si un homme voit une femme qu’il désire épouser, il doit d’abord envoyer une noix de cola en guise de salutations et de déclaration de sa demande. Si elle est acceptée, les personnes qui représentent la famille de l’homme rencontrent la famille de la jeune fille. Ils décident de la dot, suivie par la date du « cassage de la noix de cola » (le mariage). La cérémonie de mariage traditionnelle se termine par le cassage de la noix de cola. Elle est ensuite partagée entre les membres de la famille et les anciens.
D’autres communautés Africaines incluant cette pratique dans les traditions de mariage sont le Nigeria, le Ghana, la Sierra Leone et le Libéria.
La cérémonie du henné
Une mariée occidentale irait s’offrir une journée détente au spa avant le grand jour. Une mariée africaine possède elle aussi une option similaire, mais avec une petite variation. Dans certaines communautés d’Afrique de l’Est, de l’Ouest et du Nord, les mariées et leurs amies organisent ce que l’on appelle une cérémonie ou une soirée henné. Quelques jours avant la cérémonie du mariage, elles sont dorlotées et préparées pour leurs noces.
Parmi les Swahilis au Kenya et en Tanzanie, cet événement peut se dérouler sur deux jours, voire plus. La cérémonie peut souvent impliquer beaucoup de rituels, tels que des bains et parfums secrets sur le corps de la mariée, ainsi que les dessins au henné sur son corps. Les femmes membres de la famille ou les amies peuvent aussi y participer. en appliquant du henné sur différentes parties de leur corps : bras, jambes et pieds. Cette cérémonie est habituellement accompagnée de chants et de prières pour les jeunes mariés. Des conseils sont aussi donnés à la mariée par des membres plus âgés de la famille. Cette étape est vraiment riche en émotions.
Au Niger, les communautés Hausa et Touareg appliquent elles aussi le henné sur les mariées, pour symboliser la pureté et la fertilité.
La Soumission dans la Tradition de Mariage Africain
Tout comme dans la foi chrétienne, plusieurs cultures africaines enseignent la soumission d’une femme envers son mari. C’est pour cette raison qu’il est très commun dans beaucoup de pays Africains de voir la mariée s’agenouiller devant son mari pendant un mariage ou une cérémonie de fiançailles.
Au Burkina Faso, lors de la cérémonie traditionnelle des fiançailles, les mariées du groupe ethnique Mossi ou Moagha reçoivent une boisson de la part de leurs jeunes cousines. La mariée est censée goûter la boisson avant de l’offrir, à genoux, à son mari.
La blogueuse Burkinabè @reunissoulebaobab est vue en train de goûter la boisson en question dans l’image ci-dessus, à son propre mariage.
Dans la tradition des Yorubas, vous verrez souvent la mariée s’agenouiller pour placer une coiffe sur la tête de son époux. Celui-ci doit alors, en retour, l’asperger d’argent et la soulever dans ses bras.
Tenues assorties (Aso Ebi)
L’assortiment des tenues des demoiselles d’honneur est une tradition commune aux mariages dans le monde entier. Les cérémonies de fiançailles et les cérémonies de mariage africaines vont encore plus loin en assortissant non seulement les demoiselles d’honneur, mais aussi les amis proches, les sœurs, les cousins et parfois tous les convives du mariage.
Cette pratique est particulièrement populaire dans les régions d’Afrique de l’Ouest et implique un uniforme de cérémonie appelé « Aso Ebi » en Yoruba. Le mot « Aso » signifie tissu et « Ebi » signifie famille. Ce vêtement peut donc être décrit comme un tissu familial. Il est porté pour mettre en avant la proximité de la famille lors des cérémonies. Il peut être fait de polyester, coton, ou d’autres tissus.
Bien que le tissu soit le même, les femmes possèdent généralement la liberté de créer leur propre style. La mère de la mariée et la mère du marié peuvent également choisir leur propre tissu à porter pour leur famille proche, leurs parents ainsi que leurs associés.
Cette pratique s’appelle également Sanga Willi dans la langue Dioula, parlée au Burkina Faso, au Mali et en Côte d’Ivoire.
Comme une Reine
Chaque mariée aimerait se sentir comme une reine lors du jour de son mariage. Cependant, certaines mariées Éthiopiennes en ont déjà toute l’apparence, et s’habillent de la tête aux pieds comme de vraies reines pour le Jour J. En effet, certaines parties de l’Éthiopie sont majoritairement chrétiennes. Plus précisément, un pourcentage de la population Éthiopienne appartient à l’Église Orthodoxe Éthiopienne Tewahedo.
L’élément principal d’une cérémonie de mariage de l’Église Orthodoxe Éthiopienne Tewahedo est le couronnement du couple. Ici, les couronnes de cérémonie peuvent être faites de pierres et de métaux semi-précieux, de fils d’or et de pourpre. Elles sont placées sur la tête des mariés, comme symbole de leur nouveau statut de roi et de reine de leurs nouveau foyer. Le prêtre bénit les couronnes au nom de la Trinité. Il les échange ensuite trois fois entre les époux pour sceller l’union. Les mariés sont également parés de vêtements à caractère royal, notamment de capes brodées, de robes et de bijoux. L’image ci-dessus représente le Prince Yoel d’Ethiopie et la philanthrope Ariana Austin le jour de leur mariage.
La Dégustation des quatre éléments
Vous avez sans doute entendu le dicton selon lequel le mariage n’est pas un long fleuve tranquille ? Il vient avec ses épreuves et ses tribulations, que seuls les plus résistants peuvent survivre. Le groupe ethnique Yoruba (présent dans des pays comme le Nigeria, le Niger et le Bénin) a une tradition de mariage appelée « dégustation des quatre éléments ». Au cours de cette étape, les mariés dégustent littéralement des saveurs qui représentent les différentes étapes d’un mariage.
Une tranche de citron est pour l’acidité afin de représenter les déceptions auxquelles le couple devra faire face. Une gorgée de vinaigre pour l’amertume qu’ils doivent surmonter dans les combats et les moments difficiles. Le cayenne est un élément chaud pour montrer une façon d’apporter du piquant et de la passion à la relation. Enfin, une douce cuillerée de miel montre la joie du mariage.
En goûtant à chacun de ces quatre éléments, le couple démontre symboliquement qu’ils sauront faire face à tout ce qui peut leur arriver, ensemble. Photo ci-dessus de cette traditions Africaine de mariage, utilisée avec la permission de Trystan Photography.
Lettres de demande en mariage
Comme la plupart des cérémonies de mariage africaines, un mariage sud-africain est vibrant de couleurs, de culture, de musique et de danse. Mais avant qu’un mariage zoulou ait lieu, le marié et sa famille doivent d’abord écrire une lettre à la famille de sa future épouse. La lettre doit clairement indiquer leurs intentions, et leur demander une rencontre officielle. Elle doit également préciser que la date exacte à laquelle la négociation de la Lobola (dot pour la mariée) aura lieu. La famille de la future mariée répond à la lettre en confirmant la date fixée ou en la modifiant pour une date qui leur convient le mieux. Note : les coutumes du Nigeria incluent également des lettres de demande en mariage. Celles-ci peuvent être très élaborées ! Vous trouverez ci-dessous un exemple de lettre de demande en mariage traditionnelle, rédigée par les organisateurs de mariages traditionnels Nigérians Ilé Okó Yá.
Revenons chez les Zoulous! Après la lobola, ces mariés sud-africains organisent une cérémonie de mariage qui dure en principe trois jours et commence un vendredi. Ce jour-là, la famille du marié se rend à la maison de la famille de la mariée. Ils démontrent des pas de danse, et chantent des chansons traditionnelles. Le mariage « en blanc » a lieu le jour suivant à l’église. Le dimanche, la mariée est emmenée dans sa nouvelle maison où a lieu le mariage traditionnel (l’Umabo).
Les concours de danse
Le mariage traditionnel zoulou (Umabo) a lieu dans la maison familiale du marié. La mariée quitte sa maison tôt le matin, recouverte d’une couverture. Il lui est conseillé de ne pas regarder en arrière, afin de ne pas inviter à la malchance. Son père l’emmène dans sa nouvelle maison familiale et à son arrivée, elle marche autour de la maison pour être présentée aux ancêtres de son mari. Elle entre ensuite dans la maison par la cuisine en cachette, avant que quelqu’un ne la remarque. La famille du marié paie alors une amende pour ne pas avoir remarqué la mariée.
Avant la cérémonie traditionnelle du mariage, la famille de l’homme doit d’abord abattre une vache pour accueillir la mariée. Ce jour-là, cette dernière porte des vêtements traditionnels tels que des tabliers en cuir souple, un collier de perles et une coiffe avec des perles. Le marié, quant à lui, revêtit une peau de lion. Les deux familles échangent des cadeaux et organisent un concours de danse. Cette cérémonie est pour symboliser le départ de la mariée de sa maison ancestrale pour rejoindre celle de son mari.
Traditions de mariage africaines: la libation
Respecter les anciens et honorer les ancêtres est une chose profondément ancrée dans plusieurs cultures Africaines. Par conséquent, une cérémonie de libation est généralement intégrée aux grands événements, y compris les mariages. Dans de nombreux mariages traditionnels africains (au Ghana, au Burkina Faso et dans d’autres pays), les libations sont effectuées par un ancien de la famille. Il verse de l’eau bénite ou de l’alcool sur le sol dans chacune des quatre directions cardinales. Des prières sont récitées aux esprits ancestraux, et les noms de ceux qui sont récemment décédés sont appelés. Cette tradition africaine de mariage est un important rituel, qui vise à apaiser les ancêtres et à bénir les mariés.
Jeter l’argent sur les mariés
Une tradition de mariage africain des plus populaires, surtout en Afrique de l’Ouest, consiste à « jeter » de l’argent sur la mariée pendant qu’elle danse. Bien entendu, seuls les billets craquants sont encouragés. L’argent est généralement jeté par les invités les plus âgés (mais tout le monde peut participer) pour montrer leur joie au couple. C’est aussi un spectacle d’extravagance et de richesse, pour le symbole d’un avenir prospère pour les mariés. Les demoiselles d’honneur sont chargées de collecter tout l’argent jeté. La somme est remise aux jeunes mariés à la fin des festivités.
La famille et les amis n’ont pas de moment précis pour jeter l’argent sur les mariés, mais le meilleur moment est celui où le couple se retrouve sur la piste de danse.
Note: cette tradition est aussi pratiquée en dehors du continent Africain. En Arménie, les époux sont aspergés d’argent par leurs invités durant leur première danse. Ce rituel est appelé « Shabash« .
Pas de quoi sourire
Pour la plupart des couples, le jour de leur mariage est le plus beau jour de leur vie, si l’on en croit leurs visages rayonnants. Mais ce n’est pas le cas pour certains mariés et mariées Congolais. Au Congo, le mariage est considéré comme une affaire sérieuse. Certains groupes ethniques ne le voient donc pas comme une occasion de rire ou de sourire. Traditionnellement, pendant toute la cérémonie de mariage, y compris la réception et la séance photo, certains mariés n’étaient donc pas autorisés à sourire. S’ils le faisaient, cela signifierait qu’ils n’étaient pas sérieux à propos de leur mariage. Les choses ont changé, et les mariages congolais sont aujourd’hui remplis de bonheur et de sourires, de la part de tout le monde.
Les Chameaux dansants
Danser lors d’un mariage est une tradition partagée dans le monde entier. En fait, aucune cérémonie de mariage n’est complète sans que les gens ne se s’amusent bien pendant la fête. Mais, dans le pays d’Afrique de l’Ouest du Niger, c’est le chameau qui danse.
Chez les Touaregs du Niger, la tradition veut que si un jeune homme s’intéresse à une fille, il se faufile jusqu’à sa maison qu’elle partage avec ses parents et lui chatouille l’oreille. Si la jeune fille n’est pas intéressée, elle se couvre la tête et il doit partir immédiatement. Mais si elle est intéressée, elle lui parle et lui offre un pendentif en gage de son acceptation. Les parents se réuniront ensuite pour discuter de la dot et la cérémonie de mariage aura lieu à la pleine lune. Après le mariage, un chameau dressé montrera aux invités ses mouvements de danse au rythme du tambour. Ce tambour est un instrument traditionnel touareg, appelé le Tendé (en langue Tamasheq).
Cuisiner pour la famille
Au Burkina Faso, le 7ème jour après le mariage, la mariée Mossi (ou Moagha) est censée cuisiner le plat traditionnel du pays à ses beaux-parents. Ce plat est une savoureuse pâte de maïs appelée « tô ». Il est généralement accompagnée d’une sauce (la sauce au gombo est une des plus populaires) et d’une soupe. Pendant ce temps, chez le père de la mariée, un mouton est tué. Une partie de la viande est utilisée pour faire de la soupe. La famille de la mariée envoie ensuite des émissaires chez la belle-famille. Cette délégation apporte les derniers articles ménagers de la nouvelle mariée, ainsi que la soupe, qui est partagée avec la belle-famille. Après le repas, la famille de la mariée rentre à la maison. Cependant, ils emballent tous les os de la viande de mouton qui vient d’être mangée. Selon la tradition, ils enterrent ces os le long du chemin. Aucun des os ne doit retourner chez le père de la mariée, pour éviter la malchance aux jeunes mariés.
Une tradition de mariage Afro-américain : Le Saut Du Balai
Le Saut Sur Le Balai est l’une des traditions de mariage les plus répandues au sein de la communauté noire des États-Unis. Comme le suggère cette phrase, les mariés sautent littéralement ensemble par-dessus un balai. Cet acte signifie leur entrée dans une nouvelle vie et la création d’une nouvelle famille. Ils « balayent » symboliquement leur ancienne vie de célibataires et leurs préoccupations.
L’origine de cette tradition n’est pas très claire. Certains la faisant remonter aux communautés tsiganes du pays de Galles du 18e siècle. D’autres pensent qu’elle pourrait provenir du Ghana.
Quoi qu’il en soit, cette pratique était courante chez les esclaves du sud des États-Unis dans les années 1840 et 1850. En effet, à l’époque, ils n’étaient pas légalement autorisés à se marier. De nombreux couples organisaient alors des cérémonies secrètes au cours desquelles ils sautaient sur le balai pour signifier leur engagement l’un envers l’autre. L’expression « sauter sur le balai » est donc devenue synonyme de « se marier ».
Note- si c’est une pratique que vous prévoyez d’ajouter à votre mariage, assurez-vous que la forme de votre robe rendra le saut du balai facile!
Et voilà, vous venez de voir quelques-unes des plus intéressantes traditions africaines de mariage pratiquées dans différents endroits sur le continent Africain. Bien sûr, 54 pays ne peuvent pas voir leur cultures résumées en un seul post. Nous avons encore fait de notre mieux pour couvrir quelques traditions de mariage africaines dans ce post! Vous en avez trouvé une qui a retenu votre attention ? Vous en connaissez une que nous avons oubliée ? Faites-le nous savoir dans les commentaires. Aussi, assurez-vous de profiter de nos conseils d’ organisation,au cas où vous voulez ajouter l’un des rituels des ci-dessus à votre célébration!
Autrement, merci beaucoup d’avoir lu notre article, et n’hésitez pas à nous contacter pour toute question ! Si l’organisation de votre mariage inclut l’achat d’une robe de mariée, nous serions ravis de vous aider à concevoir la robe de vos rêves. Réservez une consultation avec notre équipe, ou envoyez-nous une demande en ligne à travers notre formulaire de contact, ou par e-mail.
Rendez-vous bientôt, pour plus de mariées et d’astuces de mariage!
Sincèrement,
JoSaBi